Survol
La Subaru Outback a fait ses débuts en 1995 et s’est dès le départ présenté comme une version plus robuste de la familiale Legacy. Sans contredit, elle a contribué à créer le segment des véhicules utilitaires que l’on connaît aujourd’hui. Au passage, elle a assuré à Subaru une profitabilité alors inespérée. Pour 2020, on a droit au modèle de sixième génération. Ce dernier avance un style repensé et une nouvelle mécanique.
Versions livrables
L’Outback est servie avec cinq niveaux de finition, soit Convenience, Touring, Limited, Premier et Outdoor. Cette dernière est entièrement nouvelle. Les quatre premières déclinaisons sont équipées de série du moteur 4-cylindres de 2,5 litres. Les variantes Limited et Premier peuvent recevoir en option un moteur 4-cylindres turbo de 2,5 litres bon pour 260 chevaux et 277 livres-pieds de couple. La nouvelle venue Outdoor hérite d’office de cette mécanique. Chaque version qui est animée par le moteur turbo porte le suffixe XT. Tous les modèles sont servis avec une transmission à variation continue (CVT), de même que la traction intégrale à prise constante du constructeur.
Équipement de série
Avec le modèle Convenience, on retrouve un écran de sept pouces pour le système multimédia, les applications Apple CarPlay et Android Auto, des sièges avant chauffants, la climatisation automatique, 10 ajustements pour le siège du conducteur, deux ports USB à l’arrière, des phares automatiques à DEL, les feux de croisement automatiques, des phares antibrouillard à DEL, un frein de stationnement électronique, la vectorisation active du couple, l’aide à la descente en pente, un jet pour le nettoyage de la caméra arrière, un cache-bagage, de même que des rails de toit.
À noter que chaque Outback est livrée avec la suite de sécurité EyeSight. Pour 2020, cette dernière avance une nouvelle fonction, soit une aide au maintien au centre de la voie.
Avec la version Touring, on ajoute des roues en alliage de 17 pouces, des rétroviseurs (extérieurs et intérieur) à atténuation automatique, un toit ouvrant, l’entrée passive sans clef, un volant et un sélecteur de rapports gainés de cuir, deux zones pour la climatisation, les services connectés Starlink de Subaru, les alertes pour les angles morts et la circulation transversale arrière, le freinage d’urgence automatique en marche arrière, l’assistance au changement de voie, l’ouverture électrique sans mains du hayon, de même qu’un écran de 11,6 pouces disposé à la verticale pour le système multimédia.
Avec les variantes Limited, on profite de la navigation, d’une chaîne audio à 12 haut-parleurs, de sièges en cuir, d’un volant chauffant, de la mémoire pour le siège du conducteur et d’une rallonge pour l’assise, de huit ajustements électriques pour le siège du passager, de sièges arrière chauffants, de phares qui réagissent aux mouvements du volant, ainsi que des roues de 18 pouces.
Les déclinaisons Premier en remettent avec un cuir signé Nappa, des sièges avant ventilés, un lecteur de disques compacts, une caméra avant, des rétroviseurs rétractables, de même qu’un système de surveillance de l’attention du conducteur.
Enfin, pour ce qui est de la nouvelle version Outdoor XT, elle hérite d’un rouage intégral plus sophistiqué, de tapis résistants aux intempéries et d’un pneu de secours pleine grandeur, entre autres.
Économie d’essence
Lorsque le moteur de 2,4 litres est présent sous le capot, la consommation de l’Outback est de 9,0 litres aux 100 kilomètres en ville, 7,1 litres sur l’autoroute. Avec le moteur turbo, les cotes grimpent à 10,1 et 7,9 litres aux 100 kilomètres, respectivement.
Concurrence
Les concurrents de l’Outback sont de calibre, mais souvent plus gros. On parle de véhicules comme le Ford Edge, le Honda Passport, le Chevrolet Blazer, le Hyundai Santa Fe, le Jeep Grand Cherokee et le Nissan Murano.